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Les articles

RDC : Appel urgent au Président Macron

 Aujourd’hui, on tue à Kinshasa. C’est à la mitrailleuse que l’armée tire sur la foule descendue dans les rues pour contester le régime de Joseph Kabila (...)

Aujourd’hui, on tue à Kinshasa.

C’est à la mitrailleuse que l’armée tire sur la foule descendue dans les rues pour contester le régime de Joseph Kabila prolongé au-delà de son deuxième mandat sans même un simulacre d’élection.

Rappelons, Monsieur le Président, que cette répression intervient moins d’un an après l’ouverture, en juillet, d’un centre de formation pour les hauts gradés de l’armée rdcongolaise, formation aux techniques de contre-insurrection assurée par des instructeurs français.

Depuis plusieurs années, dans ce pays ravagé par la misère, on a pu voir l’action délétère du général Baillaud, instrumentalisant diverses milices et bandes armées à seule fin de déstabilisation, ceci prenant des proportions effrayantes, d’abord au Kivu, et maintenant au Kasaï, où les sbires de Kabila ne reculent devant aucun des sales procédés de la « guerre révolutionnaire » chère à l’armée française depuis les années 50.

Nous demandons ici solennellement le rappel du général Baillaud, ainsi que la fermeture immédiate de cette école militaire criminelle ouverte à Kinshasa sous votre responsabilité.

Nous dénonçons aussi le fait que la France – et l’Espagne [1] – aient osé bloquer toute protestation européenne, de même que la France paralyse l’ONU sur ce dossier depuis bien longtemps.

Nous demandons que la France renonce à sa fonction de « penholder » [2] au Conseil de sécurité, et rappelle au besoin son ambassadeur auprès de cet organisme, afin de permettre à la communauté internationale de regarder la situation plus impartialement.

L’Agence d’Information
La Nuit rwandaise

Mis en ligne par L’Agence d’information

 21/01/2018

RDC. Massacres de Beni : l’ONU en porte-à-faux

 Pendant le carnage d’Oïcha, près de Beni, début juillet, les Casques Bleus n’ont pas assuré, pour l’énième fois, la protection des populations. Les déclarations (...)

Pendant le carnage d’Oïcha, près de Beni, début juillet, les Casques Bleus n’ont pas assuré, pour l’énième fois, la protection des populations.
Les déclarations officielles de la MONUSCO, en contradiction avec la réalité des faits, trahissent l’« embarras » de la force des Nations Unies, alliée d’une armée que l’on sait impliquée dans les atrocités. Ce qui peut expliquer la non-intervention systématique et réitérée des soldats aux ordres du général français Jean Baillaud, théoricien de "l’approche globale" [portrait du général Baillaud à venir sur l’Agence d’information voir photo ci-dessous].
Une situation tragique et trouble, dans laquelle les communautés victimes des exactions sont déterminées à s’organiser pour l’auto-prise en charge de leur propre sécurité.

Mis en ligne par L’Agence d’information

 22/07/2016

État français

Les articles

RDC : Appel urgent au Président Macron

 Aujourd’hui, on tue à Kinshasa. C’est à la mitrailleuse que l’armée tire sur la foule descendue dans les rues pour contester le régime de Joseph Kabila (...)

Aujourd’hui, on tue à Kinshasa.

C’est à la mitrailleuse que l’armée tire sur la foule descendue dans les rues pour contester le régime de Joseph Kabila prolongé au-delà de son deuxième mandat sans même un simulacre d’élection.

Rappelons, Monsieur le Président, que cette répression intervient moins d’un an après l’ouverture, en juillet, d’un centre de formation pour les hauts gradés de l’armée rdcongolaise, formation aux techniques de contre-insurrection assurée par des instructeurs français.

Depuis plusieurs années, dans ce pays ravagé par la misère, on a pu voir l’action délétère du général Baillaud, instrumentalisant diverses milices et bandes armées à seule fin de déstabilisation, ceci prenant des proportions effrayantes, d’abord au Kivu, et maintenant au Kasaï, où les sbires de Kabila ne reculent devant aucun des sales procédés de la « guerre révolutionnaire » chère à l’armée française depuis les années 50.

Nous demandons ici solennellement le rappel du général Baillaud, ainsi que la fermeture immédiate de cette école militaire criminelle ouverte à Kinshasa sous votre responsabilité.

Nous dénonçons aussi le fait que la France – et l’Espagne [1] – aient osé bloquer toute protestation européenne, de même que la France paralyse l’ONU sur ce dossier depuis bien longtemps.

Nous demandons que la France renonce à sa fonction de « penholder » [2] au Conseil de sécurité, et rappelle au besoin son ambassadeur auprès de cet organisme, afin de permettre à la communauté internationale de regarder la situation plus impartialement.

L’Agence d’Information
La Nuit rwandaise

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 21/01/2018

RDC. Sanctions : Kalev or not Kalev…

 Les premiers voudraient l’insérer dans la liste des officiels rdcongolais coupables de violation des droits humains, les deuxièmes rechignent. Parmi les (...)

Les premiers voudraient l’insérer dans la liste des officiels rdcongolais coupables de violation des droits humains, les deuxièmes rechignent. Parmi les effets de cette querelle, on enregistre que les mesures de l’Union Européenne tardent à venir.

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 21/05/2017

MSF

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13/07/2013

L’ONU devient "de fait une partie au conflit", dit MSF

Le cri d’alarme des french doctors
« Nous ne sommes pas des soldats en blouse blanche ! », lâche Bertrand Perrochet, chef de mission de Médecins sans Frontières (MSF) en République démocratique du Congo, en tête d’une déclaration rendue à la presse le 5 juillet 2013. "We are not soldiers in white blouse", says Bertrand Perrochet, head of the french NGO Doctors without borders (MSF) in DRC, to begin the communiqué released the 5th of july 2013.

Maï MaÏ

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RDC : Le retour du M23

 Las d’attendre que le gouvernement respecte les engagements pris le 12 décembre 2013 à Nairobi, suite à la cessation des hostilités entre le mouvement rebelle (...)

Las d’attendre que le gouvernement respecte les engagements pris le 12 décembre 2013 à Nairobi, suite à la cessation des hostilités entre le mouvement rebelle et Kinshasa – notamment leur rapatriement conforme aux clauses des protocoles signés, le retour des réfugiés et la démobilisation des groupes armés sévissant à l’Est –, les combattants du général Sultani Makenga ont pour la plupart quitté leurs camps près de Kampala et sont rentrés au pays. Une action qui se voulait, au début, démonstrative et inoffensive…

Having enough of waiting for the government to respect the commitments made on December 12 2013 in Nairobi, which followed the cessation of hostilities between the rebel movement and Kinshasa - including their repatriation in accordance with the signed protocols, the return of refugees and the demobilization of groups Armed fighters in the east -, most of the fighters of General Sultani Makenga have left their camps near Kampala and returned home. An action which at first was meant to be demonstrative and harmless ...

Mis en ligne par L’Agence d’information

 18/02/2017

Silence inquiétant sur le front de Masisi

 Trois mois et demi après la fin des hostilités entre le gouvernement et le M23, la guerre, la violence des milices et l’épuration ethnique sont toujours (...)

Trois mois et demi après la fin des hostilités entre le gouvernement et le M23, la guerre, la violence des milices et l’épuration ethnique sont toujours d’actualité au Nord-Kivu. Les tueries de civils rwandophones, à Nyamaboko, et des militaires FARDC, à Bukombo, par une coalition de groupes extrémistes qui ont le soutien des autorités de la province, ne sont pas mentionnées dans la presse nationale, ni dans les déclarations officielles de Kinshasa, la Monusco se limitant à un communiqué laconique. Cette attitude trahit les responsabilités du pouvoir qui rechigne à se débarrasser des faucons responsables de l’insécurité et de la haine ethnique dans cette région orientale de la République démocratique du Congo.

Three and a half months after the end of hostilities between the government and the M23, war, militia violence and ethnic cleansing are still current in North Kivu. The killing of rwandophones civilians, in Nyamaboko, and Fardc soldiers in Bukombo, by a coalition of extremist groups supported by the authorities of the province, are not mentioned in the national press or in Kinshasa’s official statements, Monusco issuing no more than a terse statement. This attitude betrays the responsibilities of power that is reluctant to get rid of hawks responsible for insecurity and ethnic hatred in the eastern region of the Democratic Republic of Congo.

Mis en ligne par L’Agence d’information

 22/02/2014

MaïshaRDC

Les articles

21/02/2023

Le gouvernement congolais ne paraît pas si bien bien disposé à mettre en œuvre les décisions des chefs d’État de (...)

Le rapatriement des réfugiés, le plus sensible des problèmes sous-jacents de la crise
 Le retour des réfugiés, un « prétexte fallacieux » ?
« Pour débarrasser le Rwanda d’un autre prétexte fallacieux sur la présence des réfugiés congolais sur son sol, le Gouvernement va travailler pour un retour rapide de nos compatriotes en respect des règles du HCR (haut commissariat aux réfugiés) et en impliquant étroitement les notabilités locales. Pour mettre fin aux manœuvres dilatoires justifiant le non-respect de la feuille de route de Luanda, l’Angola se chargera avec le facilitateur Kenyatta de notifier au M23 les décisions du mini-sommet d’Addis-Abeba et sa mise en œuvre immédiate ». — Patrick (...)

Canal +

Les articles

5/02/2014

Sketch de Canal Plus sur le Rwanda : le carton jaune du CSA

suites judiciaires envisagées
Le CSA a mis en garde Canal+. pour avoir diffusé un sketch "portant atteinte à la dignité humaine" et à la mémoire des victimes et rescapés du génocide des Tutsi de 1994. Des suites judiciaires sont envisagées par les plaignants. CSA warned TV channel Canal + for a sketch "detrimental to human dignity" and to the memory of the victims and survivors of the 1994 genocide of Tutsis. Following judicial action is sought by the complainants.

Les articles

Plusieurs centaines de personnes raflées à Goma et Bukavu

 Depuis mardi soir, 11 juin 2013, des centaines de civils sont en train d’être arrêtés par la police militaire congolaise (Agence Nationale du (...)

Depuis mardi soir, 11 juin 2013, des centaines de civils sont en train d’être arrêtés par la police militaire congolaise (Agence Nationale du Renseignement-ANR), à Goma et Bukavu, les deux principales villes du Kivu, à l’est du Congo. Ces arrestations ciblent principalement des personnes rwandophones ou Tutsi.

Since tuesday evening, the 11th of june 2013, hundreds of civilians have been arrested by congolese military police (Agence Nationale du Renseignement-ANR), in Goma and Bukavu, the mains cities, of Kivu in East-Congo. The arrest target mainly rwandophone and Tutsi people.

Mis en ligne par L’Agence d’information

 12/06/2013

Que se passe-t-il au Kivu ?

 Le texte ci-dessous est un appel. Contre une politique criminelle mise en œuvre sous nos yeux et sous couvert des meilleures intentions et d’un épais manteau (...)

Le texte ci-dessous est un appel. Contre une politique criminelle mise en œuvre sous nos yeux et sous couvert des meilleures intentions et d’un épais manteau de désinformation.

The text below is an appeal. Against a criminal policy which is being carried out before our eyes, but behind a thick veil of pious intentions and disinformation.

Il testo che segue è un appello. Contro una implementazione politica criminale davanti ai nostri occhi e sotto l’apparenza di buoni propositi e una spessa coltre di disinformazione.

Mis en ligne par L’Agence d’information

 7/04/2013

Sites Web

CEC

Commission d'Enquête Citoyenne La CEC, Commission d'Enquête Citoyenne sur le rôle de la France dans le génocide des Tutsi au Rwanda (...)
  Commission d’Enquête Citoyenne La CEC, Commission d’Enquête Citoyenne sur le rôle de la France dans le génocide des Tutsi au Rwanda « L’horreur qui nous prend au visage » L’État français et le génocide (...)
Site Web : CEC

France Génocide Tutsi

Base de données sur le rôle de la France dans le génocide des Tutsi Un site de Jacques Morel FgtDb comme France Genocide Tutsi Database (...)
  Base de données sur le rôle de la France dans le génocide des Tutsi Un site de Jacques Morel FgtDb comme France Genocide Tutsi Database est une base de données relative au rôle de la France dans le (...)

La Nuit rwandaise 11 - Volume 1 | La Nuit rwandaise 11 - Volume 2

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